Nous avons tous le dont de survie.
Poussez travers les obstacles, allez hors du chaos et le désordre.
Notre concentration est fixer.
Nous allons résister les géants devant nous.
La bataille externe, une distraction bienvenue de la calamité qui tourne en interne.
Le désarroi et la confusion, que nous avons oublié momentanément, tandis que nous étions en tient de faisant la guerre avec ceux qui étaient une fois, des amies.
La survie nous protèges des bouleversement internes. Nous ne prenons jamais consciences de le moyen tel que nous sommes désensibilisé de notre douleur émotionnelle, jusqu’au temps que nous décidons de commencer notre démarche vers la guérison. Ma préférence est de rester dans le combat, prenant mes chances à survivre contres toute attente, au lieu d’essayer de me démêler de la suite !
De même.
Pourtant, l’appel interne pour la guérison est incessant.
La vie nous faisons signe que c’est le temps de continuer en avant. Nous disant que c’est le temps de nous recréer utilisant les éclats et les fragments en nous.
Nous faisons le bilan de l’épave interne, luttant avec nous même essayant de faire sense des évènement qui n’aurait jamais dû arrivé.
Essayant de sauvé les pièces de qui nous étions, une fois pas si loins.
En creusant plus profondément, cherchant avec duresses … nous prenons comptes que qui nous étions, n’existe plus.
Les pièces ne crée plus notre forme, ils représentent des mémoires — les ombres de la personne que nous avons dû laissé en arrière, pour survivre l’orage.
Des fois nous allons souffrir les coûts d’avoir survie des situations et circonstances qui étaient, à une point, hors de notre capacité à vaincre. La réalisation que des parties de nous n’existes plus, ça blesse, mais prenant conscience que ce n’est pas que ces pièces ont disparu… ils ont adaptés. Ils ont devenue qui vous êtes maintenant, par nécessité.
Alors, cette sentiment de perte devrait être accueillis avec gratitude ?
Nous devrons célébrés la sacrifice que l’instinct de conservation à fait en notre nom ?
Les décisions rapides dont on se souvient en peine ?
Si seulement cela était si simple.
Nous avons survivre - il n'a pas de question que nous sommes reconnaissantes.
Bien que maintenant, en plein coeur de guérison, ce que nous avons besoins est la permission de faire son deuil.
Faire son deuil parce que pour une raison quelconque, la vie na pas laissé l’espace pour la préservation de ces parties de soi qui étaient entièrement bon — bien que, pas fort.
Faire sont deuil pour la perte des aspects de soi qui étaient sincère, bien que pas discernant; et la perte des aspects de soi qui étaient naïfs et libre d’esprit, bien que pas discipliné.
Souvent nous nous disons qu’avec la maturation et l’accroissement, nous perdons seulement les aspects de soi qui étaient inadaptés et non-équilibrés. C’est douce-amère de réaliser que des fois les aspects de soi que nous perdons, étaient des aspects de nos identités que nous chérissons, et que nous aimons…
Choisissez d’honoré les parties de soi qui ne sont plus là pour ce qu’ils ont fait de toi, à cette temps.
Accepter la réalité que des fois, des choses qui nous ne sert plus, à une point, ont servi bien.
Porter le deuil, pour vous permettre d’avancer.
Prenant confiance de la croyance que laissant partir des aspects de soi qui nous ne sert plus; laisse l’espace pour d’autre parties de soi à developper en réponse de ce qui la vie a besoin de vous.
Plus fort, plus discernant et plus discipliné.
Bien que les qualifiants vont être différent pour chacun de nous, dépendant des circonstances dont nous faisons face — avoir la confiance que vous êtes mieux positionné pour le trajet en avance, équipé avec tous les éléments qui étaient activés et qui t’a soutenu à survivre tous qui est maintenant dans le passé.
Faites confiance au processus - faites-vous confiance.
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