Il y a huit ans de cela, très exactement le 11 avril 2011, j’ai soutenu une thèse qui a bouleversé ma vie. Ce papier était ma thèse, « ADHD : Does it have a Neurophysiological Basis or is it a Social Construct ? »
Ma thése, vous le trouverez ci-dessous, pour ceux d’entre vous qui ont le temps de lire 32 pages de recherches passionnantes et de de pointes, représentant un tournant dans ma vie.
L’appellation, « recherches passionnantes et de pointes » fait références aux recherches poussées et intellectuellement stimulantes que j’ai réalisé pour soutenir ce papier, j’ai reçu une A+ à cette thèse.
LE DÉBUT
À 24 ans, tout ce dont je souhaitais dans la vie était d’obtenir mon diplôme universitaire, trouver un boulot ennuyant, et mener une vie assez inintéressant QUOIQUE agréable. (Je l’avoue, je me voyais mariée, avec enfants, un chien, peut-être un chat hypoallergénique, un poisson japonais nommer « Gin no uraji », et touche finale, une palissade blanche, n’y voyait aucune offense).
J’avais commencé à écrire mon papier avec beaucoup de confiance que j’allais trouver une réponse tranchée. Une réponse assez manichéenneen somme. Ce qui est typique, ou devrais-je dire, complètement standard, comme je faisais des recherches sur un diagnostic clinique qui implique l’interventions de médicaments sur (roulements de tambour) les enfants.
Bref, quelques mois après, j’ai fini mes recherches, perturbée par les résultats démontrant l’inefficacité de tels traitements… liée à un sujet qui impacte, et qui continue d’impacter, plusieurs millions de personnes et les générations suivantes. Ces résultats m’ont rapidement amenée à penser que la manière dont était construit les évaluations de détermination du trouble de l’ADHD découlait d’une logique sinistre et rationnelle.
Plus explicitement, il s’agit plus de relations publiques que d’enquête scientifique. En effet, cela relève parfois plus du « média et marketing » que de recherches étayées, qui démontreraient des interventions réussis grâce à ces méthodes…. #conspiration #etalors #ADHD
Je vous l’avoue, je suis rapidement devenue l’amie gênante lors des dîners, « Peux-tu nous en dire plus Rachelle? »
« Eh bien, essayez de vous représenter les implications existantes sur la société quand des générations entières sont droguées et conditionnées à penser qu’elles sont brisées … alors qu’en réalité, cela n’est en rien corroborer scientifiquement »
Avant même le dessert, tous les convives me regardaient ébahi, « Rachelle, il faut te détendre… un petit verre de vin ? ».
Maintenant, je vous l’avoue je suis plus sage (enfin … peut-être), et toutes mes amies ont des enfants (enfin, presque…). Donc maintenant, quand j’essaie d’aborder ces discussions, je vois que les échanges avec mes amies sont devenus beaucoup captivant. « La philosophie de fauteuil ». En d’autres termes, philosopher sans mener la danse… la phobie de l’engagement.
LE POINT - EN TOUTE RÉALITÉ
Aujourd’hui je suis dans une période de ma vie où j'en ai fini avec tous ces discussions
« d’implications hypothétiques ». Je suis prête à trouver les moyens afin de résoudre, cette source de préoccupation. Je suis avec véhémence opposée à la prescriptions pharmacologique à des enfants. J’utilise le mot « véhémence » avec insistance et non de manière théâtrale.
Plus précisément, je suis contre l’idée que quelqu’un prescrive des médicaments à des enfants afin de modifier leur comportement lorsqu’il ne s’agit pas de troubles comportementaux majeurs : tels que des troubles neurophysiologique ou neurochimique. Dans ces cas précis évidemment des prescriptions médicamenteuses sont nécessaires.
Mon opinion est que si votre enfant n’est pas diagnostiqué avec ce types de trouble du comportement majeur, alors il existe d’autres méthodes alternatives afin réadapter les interactions neurocomportementales.
C’est quoi les interactions neurocomportementales ?
C’est interactions sont de types duales. C’est à dire qu’ils traitent de l’impact de l’environnement sur notre neurochimie et de notre neurochimie sur notre environnement.
Avec cette logique, on peut créer des méthodologies qui peuvent réadapter les comportements que nous souhaitons, qui impacte notre neurophysiologie afin de nous rendre de plus autonome, et devenir plus compatif.
Il s’agit de ma mission !
Maintenant, vous comprenez pourquoi j’en connais autant sur ce sujet et pourquoi il me passionne.
Si vous êtes un parent, ou une personne, qui est en train de faire face à un diagnostique d’enfant atteint de TDAH (Trouble de déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité), sachez que vous avez un choix alternatif autre que les prescriptions médicamenteuses…
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Lisez ma thèse ici (anglais) : ADHD Does it have a Neurophysiological Basis or is it a Social Construct?
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