Survie - lâcher prise du confortable
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Survie - lâcher prise du confortable

Updated: Aug 28, 2022

Peu d’entre nous s’attendent à l’inattendu.


Alors que nous nous sentons parfois exaspérés, à la prévisibilité dans laquelle nos vies peuvent tomber, nous tenons pour acquis que nous sommes dans une position d’anticiper une grande partie de ce qui se passe, n’importe quel jour.


Nous devenons confortable. La vie avance à la dérive.


Nous perdons de vue de combien de nos vies sont menés en sommeil, ignorant et non responsif.


Jusqu’à ce-qu’il arrive quelque chose que nous ne sommes pas préparés à gérer.


La vie mène des leçons comme cela pour nous tous.


Quand la croissance est requis pour gérer la circonstance, pour que nous pouvons répondre d’une manière efficace, nous sommes désorientés et pris au dépourvu. C’est rarement, si jamais, que nous avons droits à choisir le context, les joueurs ou le cadre. Il n’y en pas d’avertissements ni programmes, pas de aide mémoires sur Pinterest pour nous aider à planifier, de façon preventative.


Ces leçons de vie, soudain et intense, et le plus souvent douloureuse, sert de nous réveiller à la survie.


Alors, c’est quoi cette idée de survie ?


La survie est un désire innés d’exister.


À survivre c’est de respirer la vie dans nos poumons, sentir la chaleur quand le soleil brille au plus fort et d’avoir l’occasion de dancer, ou pleurer, sous la pluie.

Le désire de survie, oublié dans le bourdonnement tranquille de la prévisibilité, fois allumé, nous ramènent à vie.


C’est doux-amer, n’est-ce pas ?

La beauté qu’ont se trouve dans l’adversité, est qui ça exige une réintroduction à soi.


Dans le flot de la calamité, nous sommes violemment ramenés au présent, et nous prenons conscience des réalités que nous préférons d’éviter ou d’oublier.


C’est au milieu de l’adversité, quand nous nous rendons compte que nous avons perdu de vue qui nous étions, ou de qui nous nous sommes permis de devenir, dans la brume de la monotonie.

Il n’a pas de raison de souvenir, si nous sommes juste en train de passer à côté.


Je sais qui suis-je quand les choses sont confortable - de suggérer autrement fait l’hypothèse qu’être confortable est synonymes a être dans les nuages - ce n’est pas toute à fais juste.

Vous êtes qui vous devenez quand les choses deviens moins confortable.

Quand les circonstances de la vie vous déconcertent et vous embrouillent, vous blessent et vous maltraitent, vous dépouillent de tout ce que vous pensiez que vous étiez, ou tenu près de vous - vous obtenez une véritable aperçu de vous mêmes.


Nous apprenons dans quelle mesure nous valorisons notre existence, lorsque nous sommes mis en position pour en combattre pour la garder.

Il en a seulement deux résultats possible. De noyer ou nager.


Sache que les leçons de vie posent comme des signaux qui nous obligent à reconnaître qu’il y a plus, qui nous attendent, autre de ce qui est facilement atteints.


N’importe le trajet, ou le niveau d’obstacle à surmonter, engagez-vous. Saisir l’occasion.


Survivre.


Les moments de difficultés viendront et disparaîtront.

Laissez-les vous rappeler à quel point vous êtes puissant, lorsque vous faites le choix conscient de vous battre pour votre droit de respirer la vie dans vos poumons, ressentez la chaleur lorsque le soleil brille le plus et ressentez la liberté de danser ou de pleurer sous la pluie.






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